UNE PLACE AU SOLEIL !
Le C70 est réalisé en étroite collaboration avec le designer transalpin Pininfarina et cède aux charmes du toit rétractable. Sa mission ? Présenter une ligne fluide, qui ne nuit pas à l'habitabilité. Une prouesse qui est à mettre au crédit du mécanisme de toit en trois partie, à l'encombre ment réduit. Véritable merveille de technicité, ce système offre un véritable "spectacle" aux passants lors des opérations d'ouverture et de fermeture. Seul grief, une durée d'exécution supérieure à la moyenne (30 s). Séduisant à l'extérieur, le coupé-cabriolet suédois l'est aussi au dedans. La planche de bord est reprise des S40/V50, avec une originale console centrale, sobre et pratique à utiliser. Elément important pour un tel véhicule, le volume du coffre. Avec 404 litres en configuration coupé, le C70 peut envisager les départs en vacances sereinement. En configuration cabriolet, ce volume chute à 200 litres, soit moins qu'une Volkswagen New Beetle (201 litres) ! Véhiculant une image plus dynamique que par le passé, Volvo s'arme d'une gamme de motorisations pour le moins alléchante. Seul représentant des coupé-cabriolet à son niveau de gamme, le C70 paraît bien armé pour doubler les ventes de son prédecesseur. A l'image du 5 cylindres 2,5 litres Turbo avec ses 220ch parfaitement secondé par la transmission manuelle à 6 rapports, il passe de 0 à 100 km/h en 7,6 s. Vendu 46.300 € en version Summum, il procure un très bel agrément. Ce tarif est plutôt moins excessif que celui de ses concurrents directs (Audi A4 et BMW Série 3), d'autant que l'équipement est très complet (cuir, peinture métallisée, sièges électriques et chauffants...). Le C70 s'apprécie aussi énormément en version 2.4i (à partir de 36.600 €) et avec le fameux Diesel D5 de 180 ch (à partir de 39.950 €).
Le C70 est réalisé en étroite collaboration avec le designer transalpin Pininfarina et cède aux charmes du toit rétractable. Sa mission ? Présenter une ligne fluide, qui ne nuit pas à l'habitabilité. Une prouesse qui est à mettre au crédit du mécanisme de toit en trois partie, à l'encombre ment réduit. Véritable merveille de technicité, ce système offre un véritable "spectacle" aux passants lors des opérations d'ouverture et de fermeture. Seul grief, une durée d'exécution supérieure à la moyenne (30 s). Séduisant à l'extérieur, le coupé-cabriolet suédois l'est aussi au dedans. La planche de bord est reprise des S40/V50, avec une originale console centrale, sobre et pratique à utiliser. Elément important pour un tel véhicule, le volume du coffre. Avec 404 litres en configuration coupé, le C70 peut envisager les départs en vacances sereinement. En configuration cabriolet, ce volume chute à 200 litres, soit moins qu'une Volkswagen New Beetle (201 litres) ! Véhiculant une image plus dynamique que par le passé, Volvo s'arme d'une gamme de motorisations pour le moins alléchante. Seul représentant des coupé-cabriolet à son niveau de gamme, le C70 paraît bien armé pour doubler les ventes de son prédecesseur. A l'image du 5 cylindres 2,5 litres Turbo avec ses 220ch parfaitement secondé par la transmission manuelle à 6 rapports, il passe de 0 à 100 km/h en 7,6 s. Vendu 46.300 € en version Summum, il procure un très bel agrément. Ce tarif est plutôt moins excessif que celui de ses concurrents directs (Audi A4 et BMW Série 3), d'autant que l'équipement est très complet (cuir, peinture métallisée, sièges électriques et chauffants...). Le C70 s'apprécie aussi énormément en version 2.4i (à partir de 36.600 €) et avec le fameux Diesel D5 de 180 ch (à partir de 39.950 €).

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